La 15e réunion MDT de la FAO s’est achevée sur une vingtaine de recommandations
Les travaux de Libreville sur les opportunités et perspectives des financements verts et innovants pour le développement des systèmes alimentaires durables en Afrique centrale conduits par le bureau sous régional de l’Agence onusienne pour la l’alimentation et l’agriculture (FAO) se sont achevés vendredi dernier avec plusieurs recommandations à l’endroit des gouvernements des pays membres, de la CEEAC et de l’institution elle-même.
Durant 48 heures, une centaine d’experts et acteurs du système des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture en présentiel et en visioconférence se sont penchés sur la question des financements verts et innovants d’Afrique centrale pour développer des systèmes alimentaires inclusifs, résilients et durables.
Les participants aux travaux
À l’issue de plusieurs réflexions en ateliers, ce rendez-vous de la capitale gabonaise en plénière a conclu à une vingtaine de recommandations non seulement à l’endroit de la FAO, mais aussi de la Communauté économique des états de l’Afrique centrale (CEMAC) tout en invitant les gouvernements des pays de la sous-région à une plus grande implication.
« Le Gabon, en sa qualité de président de la Communauté économique des états de l’Afrique Centrale (CEEAC), s’est engagé à cette occasion à mener un plaidoyer auprès de ses pairs afin de vulgariser les recommandations issues de cette 15ème réunion de l’équipe multidisciplinaire de la FAO », a indiqué Raphaël Ndadi, le représentant du ministre gabonais de l’Agriculture.
Arslen Bounemra, le coordonnateur sous-régional de la FAO pour l’Afrique centrale résidant au Gabon, a quant à lui souligné l’importance du thème de cette 15e réunion qui vise à « jouer un rôle clé pour aider à financer les solutions adaptées à la transition vers des systèmes alimentaires durables et inclusifs ».
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