La Fédération gabonaise de taekwondo offre des équipements sportifs aux ligues
Le président de la Fédération gabonaise de taekwondo, Augustin Mouinga Ondeme, a procédé à la remise des équipements sportifs aux neuf ligues provinciales ce matin en marge des championnats nationaux seniors dames et hommes.
Le don a été acquis pour une partie sur fonds propres et de l’autre, il est constitué d’un don fait par le Comité olympique gabonais, présidé par Léon Louis Folquet et d’un reliquat du matériel du World taekwondo Peace Corps. Ce matériel est destiné à permettre aux ligues de mieux travailler, a indiqué le président fédéral, qui a souhaité qu’ils en fassent bon usage.
Le lot est entre autres composé de pittem, sittem, protèges avant-bras, protèges tibia, plastrons, casques, coquilles dames et hommes etc,. Le président de la fédération Augustin Mouinga a par la suite remis du matériel à Jean Pierre Ebele, qui est l’un des sélectionneurs de l’équipe nationale de taekwondo. Ce matériel, a expliqué le responsable fédéral, est la propriété des équipes nationales dames et hommes, juniors et seniors. Le coach Ebele va ensuite distribuer tous ces équipements à chaque catégorie de l’équipe nationale.
Augustin Mouinga Ondeme, a aussi indiqué que du matériel électronique est en ce moment bloqué au port d’Owendo. Ce matériel est don de la Fédération internationale de taekwondo obtenu sur la base des subventions que l’instance internationale versées aux fédérations nationales. Au lieu de recevoir de l’argent frais, a expliqué Augustin Mouinga, la fédération gabonaise de taekwondo a préféré recevoir du matériel sportif.
Ce matériel est constitué de pittem, de sittem, des plastrons, de casques nécessaires pour organiser deux combats en même temps sur deux aires de combat. Ce matériel électronique va permettre aux athlètes de se s’habituer avec du matériel utilisé en compétitions internationales. Au lieu d’aller découvrir le matériel électronique à l’extérieur, les athlètes gabonais auront vont désormais s’habituer avec ces équipements de dernière génération sur place.
Selon le président Mouinga, pour marquer des points sur un plastron électronique, il y a toute une technique que les coaches maîtrisent mais qu’ils ne pouvaient pas transmettre aux athlètes. Ce ne sera plus désormais le cas en compétition internationale.
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