Un trentenaire récidiviste abuse d’une gamine de 10 ans sur le chemin de l’école à Kango
Décidément les adultes Gabonais ont un goût prononcé pour le viol, surtout quand la victime est visiblement très mineure. Une gamine de 10 ans en a fait les frais à Kango (Estuaire), une commune située à près d’une centaine de km de la capitale gabonaise. Son bourreau présumé Lekossi-Ngnama Chris-Gossel, la trentaine révolue, séjourne actuellement à la prison centrale de Libreville depuis le 23 juin dernier.
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Les odieux faits se seraient déroulés en début de mois dernier. Il est environ 14 heures ce 5 juin 2017 et la victime, une élève de 10 ans de l’école publique de Kango 2, s’en va naïvement en direction de son établissement scolaire. Parvenue au carrefour Cimetière, la fillette croise un certain Lekossi-Ngnama. Celui-ci lui intime dl’ordre de le suivre dans une broussaille jouxtant le cimetière, sous le fallacieux prétexte de l’aider à soulever un congélateur. La petite hésite, ce qui irrite le trentenaire, qui se montre plus menaçant, en brandissant un couteau.
C’est donc toute tétanisée, que l’écolière finit par obéir. Une fois dans la végétation, Chris-Gossel la déshabille et abuse d’elle. Ses bas instincts assouvis, le délinquant sexuel présumé exige de la fillette le silence total sur ce qu’elle vient de vivre. Scénario ô combien récurrent ! Avec la seule différence cependant que les menaces de Lékossi-Ngnama sont plus diaboliques, car il fait savoir à la gamine qu’il irait jusqu’à lui ôter la vie, en cas de non respect de ses consignes odieuses.
La brigade de Kango qui a permis d’appréhender le violeur présumé
Il serait ainsi passé à l’acte plus d’une fois, en usant des mêmes méthodes de délinquant sexuel. Sauf que deux semaines plus tard, la tutrice de la victime constatant que la santé de la gamine se dégradait progressivement, décide de l’amener en consultation chez un médecin. Pis, au moment de donner un bain à la fillette, elle fait le terrible constat : la gamine a été violée.
Forcée par ses parents de dire toute la vérité, la victime lâche le nom de son agresseur. La brigade-centre de Kango est saisie d’une plainte des parents de la malheureuse victime et Chris-Gossel est mis aux arrêts, le même jour. Lors d’un interrogatoire au poste de police, le présumé violeur aurait nié les faits en bloc. Malheureusement pour lui, une enquête de voisinage permet, par ailleurs, aux pandores de découvrir que l’intéressé ne serait pas à son premier acte. Suffisant, pour que le juge d’instruction décide de le placer en détention préventive à Gros-Bouquet.
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