Putsch manqué : Renaud Allogo Akoué cible d’une chasse aux sorcières
Depuis la tentative de coup d’Etat du 7 janvier dernier, les spéculations autour des éventuels commanditaires alimentent les débats et les discussions. Ainsi, plusieurs personnalités parmi lesquelles le directeur général de la CNAMGS, Renaud Allogo Akoué, ont été souvent avancées sans preuve. Une véritable chasse aux sorcières qui n’a semble-t-il pour seul objectif de porter atteinte à l’honneur de certains compatriotes.
Récemment honoré par le sacre de la CNAMGS, primée entreprise de l’année au Gabonese awards of the year 2018, Renaud Allogho Akoué est au cœur d’une polémique. Plusieurs tracts et autres messages relayés sur les réseaux sociaux accusent en effet le patron de la CNAMGS d’être sur la liste des instigateurs de ce coup d’état avorté.
Une accusation grave balayée d’un revers de la main par le service de communication de l’homme publique qui souligne que ces tracts anonymes qui portent atteinte à l’honneur d’un haut responsable, ne sont fondés sur aucune preuve matériel. Allogho Akoué serait donc victime d’une mauvaise campagne de dénigrement.
Mieux, son service de communication rappelle que Renaud Allogho Akoué, depuis sa prise de fonction, a œuvré à travers la mise en place d’un plan quinquennal, à redresser la CNAMGS qui aujourd’hui plus que par le passé, assure pleinement sa mission de solidarité notamment auprès des populations les plus vulnérables.
Tous les regards sont tournés vers la justice gabonaise qui a le devoir de faire la lumière sur ce coup d’Etat militaire avorté. C’est uniquement au terme de l’enquête qui sera diligentée que les coupables seront débusqués et condamnés.
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