Crimes de sang

Le corps d’une jeune femme retrouvé sans sa tête ce matin à Libreville

Le corps d’une jeune femme retrouvé sans sa tête ce matin à Libreville
Le corps sans vie gisant au sol retrouvé tôt ce matin à Libreville © 2015 D.R./Info241

Vision d’horreur ce dimanche matin à Pompidou, un quartier du premier arrondissement de la capitale du Gabon, Libreville. Le corps décapité d’une jeune fille a été retrouvé étêté au lever du jour par des riverains.

Moov Africa

Selon des témoignages concordants, la tête serait introuvable. Il s’agit vraisemblablement d’un crime rituel. La police est arrivée sur les lieux pour constater la macabre découverte et ouvrir une enquête dont l’issue ne sera jamais connue. Plusieurs de ces crimes inhumains au Gabon sont sans coupable malgré des enquêtes toujours « ouvertes ».

Lire aussi >>> Le Gabon promet la perpétuité aux auteurs de crimes rituels sur son territoire

La saga des crimes rituels semble poursuivre impunément son chemin. Les autorités et les forces de l’ordre se révèlent être incompétentes dans l’éradication de ce fléau qui endeuille injustement nombre de familles Gabonaises de milieu social défavorisé.

Le mois dernier, le gouvernement Gabonais avait annoncé que les « crimes de sang avec prélèvement d’organes et autres mutilations des victimes » seraient dorénavant imprescriptibles et condamnés de la perpétuité. Depuis lors, aucun responsable de ces crimes n’a comparu devant les juridictions gabonaises.

[MISE A JOUR : 15h20] La tête de la victime aurait été finalement retrouvée à la décharge publique de Mindoubé dans le 5e arrondissement de Libreville. Les images autour de cet acte inhumain pouvant choquer la sensibilité des uns et surtout par respect pour la famille de la disparue, nous avons décidé de ne pas les diffuser.

Avec Jonas Moulenda

@info241.com
Moov Africa

Newsletter de Info241.com

Inscrivez-vous maintenant pour recevoir notre newsletter quotidienne


Info241.com s'engage à ne pas vous envoyer de messages non sollicités. Si vous changez d'avis, vous pourrez vous désabonner de cette newsletter à tout moment.

Commenter l'article